01 août 2019 – 1814 vues
8 œuvres disséminées dans 6 villages entre Monbazillac et Trémolat jusqu’à la fin de l’été. Des pièces exceptionnelles d’art contemporain glanées au fil des expositions par les membres de l’association les Rives de l’art.
? La présidente Annie Wolf
Des œuvres contemporaines qui investissent des endroits inattendus du patrimoine périgourdin. En mauvais français, le land art. Comme le gigantesque banc en cé d’Alexandra Sa qui trône dans le parc du château de Montréal à Issac.
Le banc en cé d’Alexandra Sà au chateau de Montréal – Les rives de l’art
Les installations de Claire Morgan dans les salles du château de Monbazillac où encore la main géante de l’artiste Pedro Marzorati au port de Tuilières.
Mano a mano de Pedro Marzorati au port de Tuilières / Les rives de l’art
L’artiste argentin propose aussi une autre création juste à côté. Plusieurs bustes de résine bleue en partie immergés aux écluses de Tuilières. Une réflexion sur le dérèglement climatique et ses conséquences.
? Pedro Marzorati
Where the tides ebb and flow de Pedro Marzorati aux écluses de Tuilières / Les rives de l’art
Comme à chaque édition, les élèves du lycée professionel Hélène Duc participent à cette biennale en réalisant une oeuvre. Pour la 7ème édition, c’est un lustre confectionné par les apprentis en chaudronnerie et en électricité et installé au lavoir de Tuilières.
Un lustre dans la source pour éclairer notre conscience des élèves d’Hélène Duc – Les rives de l’art
Les biennales éphémères c’est jusqu’à fin Septembre le long de la Dordogne. Tous les renseignements sur le site des rives de l’art.