20 décembre 2018 – 1764 vues
Considérée comme un mini-tour de France, l’épreuve n’en demeure pas moins spectaculaire. Surtout, les participants font partie du haut du panier. Des moins de 23 ans que l’on retrouvera assurément dans quelques années sur la grande boucle. A l’instar de William Barguil ou Naïro Quintana, ils sont tous passés par le tour de l’avenir.
? Philippe Colliou, le directeur de la course
Une dizaine d’étapes d’Ouest en Est avec une arrivée sur les massifs alpins. Habituée à des départs depuis la Bretagne ces dernières années, la course s’élancera d’Aquitaine cet été.
De Marmande, pour un tour de chauffe de 134 km. Et le lendemain, le contre-la-montre par équipe. D’Eymet à Bergerac.
Avec déjà du beau spectacle en perspective.
? Philippe Colliou
Le lendemain les cyclistes repartiront de Montignac avant l’entame du Massif Central dans la foulée. Une course technique et carte postale. Un peu comme le tour de France, même si l’impact est moindre. Tout de même plusieurs millions de téléspectateurs suivent la course tous les ans. Que ce soit en France ou à l’international. Notamment en Amérique Latine. Une aubaine pour la ville de Bergerac, deux ans après le passage de la grande boucle.
? Marie-Lise Potron, élue au sport
Le tour de l’avenir débutera pour le pont du 15 août. L’étape Eymet-Bergerac est programmée le 16. Le coût pour accueillir une étape du Tour de l’avenir dans une ville se situerait entre 7 et 10.000 euros. Le conseil départemental devrait également mettre la main au portefeuille. Les conventions sont en cours de finalisation.